Pendant le 10e congrès de la fédération européenne des sociétés d'audiologie (EFAS) a été signé un consensus scientifique européen en matière de dépistage de l'audition de la vue et de la parole chez les enfants d'âge préscolaire et scolaire. Parmi les signataires figurent les représentants de la Fédération Européenne des Sociétés d'Audiologie, l'Union des Phoniatres Européen, le Comité de Liaison des Thérapeutes de la Parole / Logopède de l'Union Européenne, le Consultant National en ophtalmologie représentant le milieu des oculistes européens ainsi que le professeur Henryk Skarżyński, directeur de l'Institut de Physiologie et de Pathologie de l'Audition, initiateur du rassemblement de la communauté scientifique internationale autour de l'idée de l'égalité des chances éducatives pour les enfants présentant des troubles de la communication. La Ministre de la Santé, Ewa Kopacz, honoraient la cérémonie de sa présence.

Le consensus exprime la position de la communauté européenne des audiologues et phoniatre, thérapeutes de la parole et oculistes en matière de troubles de la communication chez les enfants en début d'éducation scolaire. Il touche la question de l'influence négative des troubles de l'audition, de la vue et de la parole sur un développement intellectuel émotionnel correct de l'enfant est également le rôle que jouent un diagnostic – réalisé de la façon la plus efficace par des dépistages – ainsi qu'une thérapie précoces.

L'initiative visant à l'égalité des chances éducatives des enfants souffrant de troubles de la communication a été accepté par la Ministre de la Santé et a été inscrite dans les priorités de la présidence polonaise du conseil de l'Union Européenne dans le domaine de la santé publique. Pendant la durée de la présidence, nous serons les ambassadeurs de tous ceux qui a bien commencé sous la direction du professeur Henryk Skarżyński – a déclaré Ewa Kopacz dans son allocution après la signature de l'accord. Nous chercherons aussi à gagner tout le monde à l'idée des dépistages. Il est important d'étudier les enfants, en particulier d'âge préscolaire et scolaire, et ensuite de les soigner efficacement. Ceci leur donne la chance d'un meilleur développement intellectuel, d'une vie meilleure, une meilleure position sociale – a ajouté la ministre.